Le directeur d'une importante entreprise, très fier de lui, raconte sa vie et sa carrière à un curé, assis à côté de lui, dans un banquet. - Je peux dire une chose, Monsieur le curé, c'est que je me suis fait entièrement moi-même... - C'est fort bien, mon fils.
Voilà qui décharge le Tout-Puissant d'une lourde responsabilité.
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Oui, dit un chef d'entreprise, auquel un représentant fait l'article, pour un nouveau modèle d'ordinateur, je veux bien admettre qu'il permet des communications ultra-rapides.
Mais vous reviendrez me voir quand une de vos machines miracle dira autant de choses en aussi peu de temps qu'un homme qui fait un clin d'oeil à une jolie femme.

En vovant, par la porte vitrée de son bureau, un employé qui s'apprête à frapper timidement pour solliciter la permission d'entrer, le P.-D.G.
d'une petite entreprise dit à secrétaire. - J'espère que Martin vient me demander une augmentation.
Après la scène que m'a faite ma femme, ce matin, j'ai absolument besoin de saquer quelqu'un pour me calmer les nerfs.

- Comment, demande une dame à une amie, ton mari a-t-il réussi à obtenir cette superbe promotion ?
- Oh !
ça s'est fait tout à fait par hasard.
Figure-toi qu'un soir, sans m'avoir prévenue, mon mari se ramène avec son patron qu'il avait invité à dîner. Quand ils sont entrés dans l'appartement, je sortais de la douche et j'étais toute nue, les yeux pleins de shampooing, à traverser la salle de séjour pour chercher une serviette. - Et alors ?
- Eh bien, le patron de mon mari a eu le gentillesse de me passer cette serviette et il a même tenu à me sécher complètement, tandis que mon mari se rappelait, opportunément, qu'il devait redescendre au bureau de tabac pour s'acheter des cigarettes.

- Monsieur le directeur, dit une jeune employée, avant de vous demander une augmentation, j'aimerais vous montrer quelques photos. - De vous, toute nue ?
fait le directeur, alléché. - Non.
De vous.
Quand, au cours d'un pot bien arrosé, pour fêter votre légion d'honneur, vous avez fait l'amour, à même la moquette, avec l'une de vos secrétaires.
Vous savez celle que votre femme, quand elle en parle, n'appelle jamais que Cette petite peste .

- Patron, annonce une secrétaire, j'ai absolument besoin d'une augmentation.
J'ai dissimulé sur moi une lettre qui vous explique mes raisons.
Si cela vous intéresse, vous pouvez la chercher, en commençant par mon soutien-gorge...

Alors que vient de se tenir une réunion entre la direction et les syndicats, le directeur de l'entreprise retient un délégué dans son bureau :
- Mon petit Bidot, lui dit-il, j'ai beaucoup apprécié votre façon de demeurer silencieux avec un air signifiant manifestement :
Vous avez raison, monsieur le directeur.
Continuez comme cela et vous êtes en bonne voie pour votre avancement

A la fête annuelle du bureau, la femme d'un petit employé a largement fait honneur au buffet.
Soudain, elle se précipite vers un monsieur, qui parle avec quelques invités. - Vous, dit-elle, vous êtes le patron de l'entreprise. - En effet.
Mais comment l'avez-vous deviné ?
- Oh !
je vous ai bien reconnu, grâce aux imitations que mon mari fait de vous et qui amusent tellement les enfants.

Gentiment, un mari tend la main pour peloter les fesses de sa femme qui rentre de son travail. - Ah !
non !
proteste-t-elle.
Je ne veux rien, à la maison, qui me rappelle le bureau !

-

Sur son bureau, un homme d'affaires, très occupé, a fait disposer trois corbeilles, pour y répartir son courrier. La première porte cette inscription : URGENTISSIME.
La deuxième : URGENT.
La troisième : TROP TARD POUR Y RÉPONDRE.
OUF !

- C'est fou, dit une employée de bureau, le travail qu'on pourrait accomplir dans une journée, à condition qu'aucune collègue ne vienne vous décrire son nouveau régime amaigrissant, vous expliquer comment elle a décidé de cesser de fumer, vous montrer les dernières photos de ses enfants ou encore qu'elle ait simplement envie de bavarder un peu, en revenant de la pause-café.

Un patron très autoritaire appelle un de ses employés, par le téléphone intérieur. - Quand vous aurez un peu de temps, dans la journée, lui dit-il, pourriez-vous passer me voir à mon bureau ?
Rien ne presse mais permettez-moi, toutefois, de vous rappeler, pour information, que votre principal rival, M.
Dubois, à qui j'ai fait, ce matin, la même suggestion, s'est présenté chez moi douze secondes et trois dixièmes après avoir raccroché.
Et il a gardé sa place, lui.