Il ne faut quand même pas exagérer, tout ceux qui critiquent, en prétendant qu'ils ont été pris pour des cruches ou que l'on a joué avec leur sentiments, n'ont pas vu l'émission dans son intégralité, car depuis quand une émission commence alors que le présentateur est encore au maquillage et puis on voit une mire qui ondule, se déforme avec un passage neigeux ?  Sans oublier le panneau du début où il était clairement indiqué en blanc sur noir « Ceci n’est peut-être pas une fiction »
Voilà ce qui arrive avec la génération zapette, on rate le début et puis on ne sait pas de quoi il en est!  C’est comme pour un feuilleton de Colombo, si on rate le début, on ne connait pas le meurtrier, ou quand on arrive sur les lieux d’un accident où une personne n’a rien vu mais vous explique tout ce qui c’est passé. (Cela me rappelle une histoire (1))
Car il s'agissait bien d'une ÉMISSION et cela a été indiqué dès le début "ÉMISSION SPÉCIALE" et non pas une édition spéciale comme toutes les télés nomment un journal ou un flash info diffusé hors de sa plage horaire habituelle ou lors d'évènements particuliers. 
Et tout ces politiciens qui s’offusquent de cette émission ne l’ont également pas vue depuis le début et ils font leur show pour faire bonne figure, mais là encore ils feraient bien de se taire que de débattre sur des on-dit et sur certains écho, mais en faisant cela il nous prouve encore qu’ils ne sont que des pantins, parfois désarticulés. 
Il faut parler de chose que l’on a vue soi-même et pas discuter à propos de l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours, car cela équivaut a des discussions de comptoir totalement stériles et en justice on appele ça des oui dire. 

Pour conclure je ne dirai qu’un mot : BRAVO ! Car cette émission a eu comme mérite d’avoir bien secoué le peuple belge et les a obligé a réagir sur son futur. 

(1)
POLÉMIQUES AUTOUR D'UN ACCIDENT DU TRAVAIL
LES FAITS
L'ingénieur a marché sur la queue du chat, le chat l'a mordu.
COMPTE RENDU DE L'ANIMATEUR AU CHEF DE SECTION
L'ingénieur a marché sur la queue du chat, le chat l'a mordu.
Conclusion : l'ingénieur souffre et ne peut plus marcher.
RAPPORT DU CHEF DE SECTION AU CHEF DE DÉPARTEMENT
Ce con d'ingénieur a marché sur la queue d'un brave chat. Le chat l'a mordu et il a eu raison. L'ingénieur souffre, c'est bien fait pour ses pieds. Il ne peut plus marcher, c'est une bonne occasion pour le mettre à pied.
RAPPORT DU CHEF DE DEPARTEMENT AU CHEF DE DIVISION
D'après le chef de section, nous avons un ingénieur de section qui est con et qui souffre après avoir marché sur la queue d'un brave chat qui l'avait mordu. D'après le chef de section, c'est le chat qui avait raison : nous partageons l'opinion du chef de section car, même si on est mordu, ce n'est pas une raison pour marcher sur la queue des autres. Nous envisageons de mettre cet ingénieur à la porte.
RAPPORT DU CHEF DE DIVISION AU DIRECTEUR DES ÉTUDES
D'après le chef de département, le chef de section est devenu con parce qu'un de ses ingénieurs ne pouvait plus marcher à la suite d'une altercation avec un chat. Le chef de section indique que c'est le chat qui a raison puisque c'est l'ingénieur qui a bravé le chat en lui mordant la queue. Le chef de département veut mettre l'ingénieur à la porte. A la réflexion, cette décision pourrait déboucher sur un procès et ce serait folie dans le contexte actuel. La meilleure solution consisterait à mettre le chef de section à la porte.
RAPPORT DU DIRECTEUR DES ÉTUDES AU P.D.G.
Le chef de département est devenu fou parce que son chef de section a écrasé la queue d'un ingénieur qui avait mordu son chat. Le chef de section prétend que c'est le chat qui a raison. De toute évidence ce chef de section est con et le chef de division envisage de le mettre à la porte. Toutefois, l'expérience a prouvé que les cons n'ont jamais entravé la bonne marche de l'entreprise. C'est pourquoi nous pensons qu'il est préférable de nous séparer du chef de département.
RAPPORT DU P.D.G. AU CONSEIL D'ADMINISTRATION
Le directeur des études me signale qu'un chat est à l'origine de troubles graves au sein de l'entreprise. Les chefs de section deviennent de plus en plus cons, ils se mordent la queue en marchant et veulent avoir raison des chefs de département devenus fous.
Le chef de division a écrasé un ingénieur et le directeur des études, traumatisé, prétend que seuls les cons sont capables de maintenir la bonne marche de l'entreprise. Nous envisageons de le mettre en retraite anticipée.