Moi, je dirais que si vous êtes salarié et que vous faites les frais réels, je déduirais cette assurance dans les mêmes proportions que la quotité pro. du véhicule.
En tant qu'indépendant, idem.
On peut "risquer" (si, avec de tels montants on peut parler de risques) de mettre cette assurance dans un poste "assurances diverses" qui, lui, ne serait pas limité mais c'est chatouiller pour se faire rire étant donné que le montant annuel de ces assurances souvent ne représente qu'une 100aine d'euro environ.
Donc à vous de voir, limité à la QProf du véhicule (!!! 25 % de DNA s/frais véhicule sauf carburant et int. s/financement)ou mis dans un poste "assurances diverses" déductible à 100 %.

Bonne journée

Parfois (ou souvent) la législation change en cours d'année, comme par exemple précedemment, les frais de banque étaient mentionnés dans les extraits mais ne faisaient pas systématiquement l'objet d'une facturation individuelle. Maintenant, c'est obligatoire. Peut-être que cette annexe dont vous parlez l'est devenue également.

Pour un de nos clients (société) qui a contracté un emprunt n° xxx  pour une voiture, dans les extraits, le remboursement est indiqué comme suit : débit du compte = 200.00 € (détail de l'opération : capital = 180.00 €, intérêts = 20.00 €)
débit du compte = 8.00 € "assurance sur financement n° xxx"

ainsi, je tape directement les 180.00 € en 420... financement >  1 an éch. dans l'année, 20.00 € en 650... int. s/financement et les 8.00 de l'assurance en 619... assurances diverses (libellé : srd/financement)

comme la banque ne sait pas qui fait quoi et qui déclare comment, elle envoie toutes les attestations à tout le monde (souvent par l'intermédiaire des extraits de banque)...

Peu de chances que le fisc accepte la déduction de l'ASRD comme frais professionnels :

n° 52/191 ComIR 92 :

Le fait que la réduction d'impôt pour épargne à long terme relative aux primes d'assurance-vie individuelle est régie par l'art. 145/1, 2°, CIR 92, et que cette disposition ne fait aucune distinction entre les contrats d'ordre strictement privé et ceux souscrits dans le cadre d'une activité professionnelle implique que les primes payées en exécution de ces derniers contrats ne peuvent être considérées comme des frais professionnels (mais elles peuvent, tout comme les primes d'ordre strictement privé, donner droit à une réduction d'impôt aux conditions et dans les limites prévues par la loi).