Dans la Bible, il est écrit: Quand tu voles un voleur, c'est la main de Dieu qui te conduit. il n'y a donc pas vol!

Bien que j'eusse lu les Saintes Ecritures plusieurs fois, je reste à ma faim pour connaître réelle le livre, le chapitre et le verset de cette citation très surprenante écrite par la main de l'homme.... et soi-disant inspiré par Dieu ?

D'avance je vous remercie pour la précision que vous daignerez m'accorder.   :bj:

Votre réponse m'interpelle... car bien des fois j'ai lu la Bible et même le Coran, le Talmud et bien d'autres livres proverbiales. Pourtant cette citation... Je ne la connais pas !
Peut-être pourriez-vous m'éclairer en me donnant les références. Merci, ma chère consoeur.

Cher Monsieur,
Dès que le véhicule n'est point un véhicule utilitaire il est recommandé fiscalement d'établir :
1) au niveau de la TVA :
50% non déductible.
Toutefois, ces 50% seront considérés partiellement déductibles au niveau des impôts
En effet, au niveau des impôts il faut considérer en IPP le calcul suivant :
Sur 100 € une première déduction de 2/7, selon le type de profession... parfois même seulement 1/7 comme privé. Sur les 5/7 ou 6/7 restant il faut utiliser la règle des 75 % déductible.
Dans tout les cas, en ce qui concerne la première déduction de 2/7 ou 1/7, il est conseillé de rencontrer le contrôleur et de lui faire la proposition. Très souvent, il apprécie votre volonté de négocier, plutôt que de prendre une quelconque initiative de déduction sans leur avis.
Bien à vous

A propos de votre client avec ces fameux extraits bancaires "roman fleuve"... Permettez-moi de vous suggérer, au cas ou votre client a une entreprise sous le régime IPP ou Isoc, il serait préférable de conseiller son banquier d'établir un extrait de compte au moins une fois par semaines, si pas chaque jour lorsque une opération a eu lieu.
Personnellement cela correspondrait à l'obligation comptable.
Bien confraternellement... :bj:

J'ai lu votre question avec beaucoup d'attention, ainsi que les réponses qui vont ont été fournies.
A mon humble avis... et je ne crois pas me tromper, il vous faut appliquer la TVA ! Une indemnité pour rupture d'une convention n'est pas une opération hors champ de la TVA (Article 28 du Code de la TVA).
En effet :
1) A la lecture de votre réponse à l'une des questions, vous déclarer qu'il s'agit d'une rupture de contrat liée à des prestations informatiques (Article 18 du Code la TVA). Ce type de prestation est taxable au taux de 21 %
2) La TVA est due parce que vous exercé une activité économique d'une manière habituelle et indépendante, avant tout, donc vous être assujetti à la TVA (Article 4 du Code de la TVA).
3) Dire que c'est un dommage moral c'est contestable, très facilement, lors d'un contrôle. En cas où l'Administration découvre la réalité, les conséquences seront une amende à la clè, plus des intérêts de retard.
4) Reliser le Code de la TVA et vous serez convaincu qu'il s'agit bien d'une opération taxable. Même si votre client est une ASBL ou exonéré de la TVA il n'empêche que c'est vous qui faite la facture. C'est la qualité de celui qui se fait rémunérer qui détermine s'il faut établir de la TVA ou non.

Maintenant vous êtes toujours libre de faire votre choix... Néanmoins il faut arrêté de prendre les personnes du fisc comme des cons, Un très grand nombre de ces gens sont des Expert comptable. Dès lors, soyons respectueux envers nos confrères.  Pour votre gouverne, lorsque vous vous montrez professionnel et respectueux avec eux vous pouvez très souvent obtenir des suppressions d'amende même lorsqu'elles sont été déjà enrôlées... Mais là c'est un autre sujet.
André,
:bj:

Cher Confrère,
Avant tout, merci pour avoir répondu aussi vite.
Pour être précis, je peux vous dire qu'il s'agit d'un grossiste en fourniture de boissons, de nourritures diverses, surgelés : poissons, viandes. Il y a aussi des sauces et autres aliments en boîte tels des produits importer de l'étranger.
Ce grossiste livre à des hôtels, mais particulièrement à des snacks.
Bien à vous,
André DE MEYER