Merci.  Je pense que je vais suivre le conseil.
BAV

Impossibilité pour raison de santé de se présenter au contrôle (un accouchement prématuré par définition, cela ne se prévoit pas ! ).
Contact est pris avec le comptable pour conseil sur la procédure à suivre vis-à-vis du contrôleur.  Proposition est faite de se rendre au contrôle afin de demander report de celui-ci.
Oh!  Surprise, le comptable non-mandaté prend accord et me communique celui-ci tout en l'expurgeant des "détails" qui auraient pû me mettre la puce à l'oreille.
Ces détails (oubli de déduire les frais professionnels) m'apparaissent dans toute leur horreur lors de la réception de l'extrait de rôle.
Naïve, je recontacte le comptable en lui demandant de faire les démarches nécessaires auprès qui de droit.  Il m'assure que cela ne pose aucun problème et que "tout est sous contrôle".
J'ai appris hors délais que rien n'avait été fait!
Oui, je sais, vous allez me dire que j'ai tout les torts, que j'ai été naïve, idiote et plus encore ...

La question est peut-être (sûrement ?) idiote :

Qu'en est-il de la légalité d'une imposition enrôlée suite à un contrôle quand l'accord est signé par un comptable qui ne possédait pas procuration?

Merci de m'éviter de rester idiot !!!

je me suis peut-être mal exprimé : l'INAMI verse au labo, un forfait fermé dans lequel sont compris les frais liés à l'aspect technique de la transmission du prélèvement et à la transmission elle-même.  Il n'est nullement question pour le labo de refacturer ces frais à l'INAMI.

non, il s'agit du même exercice.
La première demande de renseignement date d'il y a plus de 6 mois et portait sur le pourcentage professionnel des véhicules: suite à la réponse, imposition a été dressée.  La deuxième demande porte à nouveau sur l'usage professionnel des véhicules + joindre copies factures concernées.

est-il normal, alors qu'une imposition a été dressée après une demande de renseignements ( à laquelle il a été répondu!), une nouvelle demande de renseignements parvienne au contribuable , les questions posées étant quasiment semblables ( sauf qu'elles sont un peu plus précises)?

une prestation peut-elle être qualifiée d'accessoire à une prestation principale si le prestataire principal sous-traite la prestation accessoire?
Est-ce-que la prestation accessoire partage le sort fiscal de la prestation principale?

Notre activité concerne les manipulations techniques de gestion, de conservation et d'acheminement de prélèvements humains dans le cadre de prestations de biologie clinique, de génétique et de pathologie.
L'INAMI reprend nos prestations comme faisant partie de l'ensemble des manipulations permettent de réaliser un examen et de garantir la valeur de son résultat.  Les honoraires y afférents étant compris dans les honoraires pour l'analyse ( art.27§7 de la nomenclature INAMI).  Notre"clientèle" est exclusivement composée d'asbl non-assujetties telles des hôpitaux, des laboratoires, des centres hospitaliers, ...  Tous nous font part de leur incompréhension quant au taux TVA que nous appliquons à savoir : 21%. Correct ou pas?