LBRP 2018

#1 Re : Impôts des Sociétés » Règle de sous-capitalisation » 2013-06-25 09:49:08

Merci,

Auriez-vous la reference en ce qui concerne la deuxième partie de ma question et donc votre deuxième OUI


Merci

#2 Re : Impôts des Sociétés » Règle de sous-capitalisation » 2013-06-24 12:21:05

Bonjour,

J'ai une discordance de point de vue avec un de mes collègues. quelqu'un peut-il arbitrer ?

Donnée

Une SA fait partue d'un groupe de société, La maison mere a fait une avance de trésorerie poteuse d'intérêt à la SA.

Les Fonds propres sur base desquelles le ratio 1/7 doit être calculé sont negatifs. Selon moi dans cette situation, quelque soit le montant des dettes intercos, les interêts sur la dettes interco sont non deductibles à l'ISOC dans le chef de la SA.

Cependant, il me semblait également que le législateur provoyait que si les objectifs d'un montage financier intragroupe étaient autre que fiscals, ces interêts pouvaient bien être déduits.

Merci de votre aide

#3 Re : Comptabilité générale » Réduction de capital pour apurer des pertes » 2012-09-27 15:50:18

Je vous remercie de votre réponse qui va dans le sens de ce que je pensais.

Bonne journée

#4 Re : Comptabilité générale » Réduction de capital pour apurer des pertes » 2012-09-27 13:34:40

Bonjour,

Je dois pratiquer une réduction de capital par apurement de perte comptable.

Mes fonds propres sont constitués du Capital, d'une prime d'émission due à une augmentation de capital par création de nouvelles actions (il y a 10 ans) et des pertes.

La prime d'émission peut faire l'objet d'un prélèvement dans le cas d'une réduction de capital pour apurer des dettes.

Mais, est que la réduction doit être opérée proportionnellement sur la prime d'émission et le capital ou peut-on dans un premier temps anéantir complètement la prime d'émission et impacter le capital pour le reliquat de la réduction.

Je n'ai pas lu d'obligation de prélèvement proportionnelle, mais peut-être ais-je loupé une ligne.

Je vous remercie d'avance de votre aide.

Sylvain

#5 Re : Code des sociétés. » Responsabilité des associés dans les sociétés de droit commun » 2011-02-28 14:07:28

Je vous remercie de cette réponse, Je comprend mieux le sens de ces trois articles.

#6 Re : Code des sociétés. » Responsabilité des associés dans les sociétés de droit commun » 2011-02-28 00:05:17

Jojo,

Je vous remercie de ce jugement de valeur sur ma lecture du texte. Il est vrai que si je pose la question, c'est que ma compréhension du texte n'est pas parfaite.

En l'occurence je n'ai pas "oublié "" qu'il s'agit de règles restrictives pour les sociétés de droit commun, anciennement "sociétés civiles" !!! Responsabilité des associés dans les sociétés de droit commun".

Si votre lesture est meilleure que la mienne, peut-être pouvez-vous m"éclairer sur la façon de le comprendre. Cela apporterait certainement plus que le commentaire que vous me proposez.

D'avance je vous remercie.

#7 Re : Code des sociétés. » Responsabilité des associés dans les sociétés de droit commun » 2011-02-27 21:42:29

Bonjour,

J'ai une question sur les articles 50, 51 et 52 du code des sociétés.

Je n'arrive pas a faire la distinction de sujet des trois articles :

Article 50.
La stipulation que l'obligation est contractée pour le compte de la société, ne lie que l'associé contractant et non les autres, à moins que ceux-ci ne lui aient donné pouvoir, ou que la chose n'ait tourné au profit de la société.
Article 51.
Un des associés d'une société de droit commun ne peut obliger les autres si ceux-ci ne lui en ont conféré le pouvoir.
Article 52.
Les associés d'une société de droit commun sont tenus envers les tiers soit par parts viriles, lorsque l'objet de la société est civil, soit solidairement, lorsque cet objet est commercial. Il ne peut être dérogé à cette responsabilité que par une stipulation expresse de l'acte conclu avec les tiers.


Selon moi l'article 50 stipule que lorsqu'un associé prend une décision, cette décision n'engage que cet associé, sauf si il a été mandaté par les autres associés ou que la décision prise apporte un intérêt à la société.

L'article 51 appuie l'article 50 en ce qui concerne la délégation de pouvoir

Mais, l'article 52 stipule que tous les associés sont solidairement responsable, ce qui selon moi, va l'encontre des prescrits de l'article 50. ( si ils prennent chacun des décisions séparées, comment peuvent il être solidairement responsables ? )

Je sais bien que c'est une mauvaise interprètation de ma part et que les trois articles ont leurs raisons, mais j'ai besoin d'aide pour distinguer les objectifs de l'article 52 par rapport à l'article 50 et 51


Je vous remercie

#8 Re : Forum Libre (TOUT LE RESTE) » Consolidation » 2010-10-08 10:17:38

Merci pour vos réponse

Comptalux,

"On consolide dans A point, c'est toujours au niveau de la topco, une sous consolidation ne rime a rien."

C'est peut-être une réponse rapide et facile qu'est la vôtre.

Ma question ne portait pas sur la société qui consolide. Il est clair que c'est la société mère.

Dire qu'une sous-consolidation ne rime à rien, est très limitatif. En effet même si la sous-consolidation n'est pas obligatoire, elle est un instrument d'analyse économique paticulièrement interressant. Convaincu que notre métier ne se limite pas à l'enregistrement des opérations réalisées, il me semble que l'analyse de secteur, de société, d'activité peut-être faîte sur base de sous consolidation.

De plus, j'ai bien mentionné que le groupe acquis était intégré par mise en équivalence, ce qui impose pour déterminer les fonds propres et de dégager un Goodwill ou badwill en date d'acquisition de ce groupe de réaliser une sous-consolidation.

Une dernière remarque : j'ose espérer que ce site puisse nous permettre de poser des cas qui puissent être réfléchis ensemble, sans jugement de la qualité des personnes qui les posent. Auquel cas certaines remarques du genre " ne rime à rien " sont peut-être un peut péremptoire et n'apporte aucune plus-value à la question posée.


Je vous remerci

#9 Re : Forum Libre (TOUT LE RESTE) » Consolidation » 2010-10-07 11:04:15

Bonjour,

Un cas un peu spécial

C'est un cas réel et non un énoncé d'école.

Une société A, qui est la maison mère d'un holding ( Groupe G-A ), fait l'acquisition d'un groupe de société ( Groupe G-B ). Le pouvoir de contrôle sur ce groupe G-B par la maison mère A est tel qu'il est décidé de l'intégrer par mise en équivalence dans les comptes consolidés du Groupe.

Le groupe G-B est constitué d'une socité mère qui détient des filiales à hauteur de 70, 80 et 90% des actions donc non exclusive.

Comment doit-on gérer la consolidation?

1. Doit-on intégrer par mise en équivalence chacune des sociétés du groupe G-B séparement dans la consolidation du Groupe G-A en fonction pour chacune d'elles, du pouvoir de contrôle qu'exerce la société A, ou doit-on faire une sous-consolidation du groupe G-B et intégrer dans la consolidation du groupe G-A le pourcentage de contrôle qu'à ce dernier sur le groupe G-B

2. si c'est la deuxième solution qui est d'application, comment calculer le pouvoir de contrôle d'une société sur un groupe de sociétés alors que les filiales de ce dernier sont détenues à des pourcentages variables.

Merci de votre aide

#12 Re : Impôts des Sociétés » Plus-value de réévaluation - taxation ??? » 2010-09-30 13:02:37

Bonjour jojo,

Tout d'abord merci de votre réponse

cependant, je n'en comprend pas le sens.

Il s'agit d'une situation réelle, et je supposais que soumettre la problèmatique à des confrères, permettrait d'échanger des points de vue, des idées .....

Je suis le comptable de cette société, mais je n'ai pas pour vocation d'exécuter les ordre du CA ou de l'AG sans me poser la question de l'utilité d'une tel demande. Je crois que c'est aussi dans leur intérêt.

C'était une réflexion que j'espérais

merci de votre aide

#13 Re : Impôts des Sociétés » Plus-value de réévaluation - taxation ??? » 2010-09-30 11:46:26

Bonjour,

Voici la situation:

Une société a accumulé une perte fiscale colossale durant ces trois dernières années ce qui entraine des fonds propres négatifs, cette perte est due à l'amortissement de son actif, l'EBIDTA est cependant positif.

L'actif est utilisé pour la continuité de l'activité ( l'actif est un hôtel comprenant immeubles, mobiliers, IMO.......) et des expertises nous confirment que sa valeur est inférieure au niveau de rentabilité de l'activité. De plus les amortissements actés sont trop rapides.

Il est donc décidé de procéder à:
1. une révision des amortissements sur une période plus longue ( pour refléter la réalité économique ).
2.  une plus-value de réévaluation sur l'actif.

La première mesure a un effet direct sur les pertes fiscales cumulées, celle-ci seront diminuées à concurrence de la révision des amortissements sur les exercices antérieurs, mais cette seule mesure ne permet pas à la société d'avoir des fonds propres positifs. c'est pourquoi la seconde mesure est prise.

La plus value est fondée et respecte les prescrits de l'article 57 §1er de l'arrêté royal du 30 janvier 2001.

Cette plus-value  permettra d'avoir des fonds propres positif, mais est encore inférieure à la perte fiscale cumulée restante après la première mesure.

La société est parfaitement en mesure de respecté l'article 190, alinéa 1er et 44, §1er, 1° du CIR ( il ne s'agit pas de stock )

Cependant, pour diminuer la perte fiscale colossale visible, le conseil d'administration souhaiterait que cette +value de réévaluation soit quand même taxée. Pour ce faire il suffit de ne pas respecter l'une des conditions d'intangibilité et en l'occurrence de passer cette plus-value en résultat plutôt que de la passer en compte de passif "plus-value de réévaluation".

La société est détenue par des investisseurs privés, et la vente de la société est prévisible d'ici 5 à 10 ans

Question: 1: est-ce bien utile de faire taxer ( de diminuer la perte fiscale ) cette plus-value :
-    si la société apporte suffisamment de bénéfice dans les 5 à 10 ans et dépasse le reliquat de la perte fiscale cumulée, on risque d'être imposé sans pouvoir récupérer la perte fiscale absorbée par la plus-value taxée.
-    En cas de vente de la société ( changement de contrôle ), il est possible de demander un ruling en vue de reporter les pertes fiscales.

Question 2 : n’est-il pas mieux d’envisager la taxation de cette plus-value au moment de la vente ( ce qui reviendrait quand même au même par rapport au refus d’un ruling par l’administration.)
Question 3 : Y a-t-il d’autres pistes de réflexion ?


merci d'avance pour la reflexion

Sylvain

#14 Re : Impôts des personnes physiques » livre journal paramédical » 2008-12-30 15:06:45

Bien vu...

mais ce n'est pas la même personne c'est un ami qui m'a donné ce lien avec son mot de passe pour poser des questions.

J'ai pas assez de revenu pour me payer les services d'un comptable, alors je me débrouille comme je peux.

Ca convient ou je dois ouvrir un compte à part sur votre site ?

merci de votre compréhension

#15 Re : Impôts des personnes physiques » livre journal paramédical » 2008-12-30 14:45:04

Bonjour,

Je suis installé en profession paramédicale.

Qui peu m'orienter ?

1. Un compte bancaire est ouvert au non de mon acivité paramédical pour séparer totalement le privé du professionnel. La mise de départ servant à démarer les activités ne s'inscrit pas dans le livre journal tout comme les remboursements de cette mise de départ. Faut-il en fin d'exercice faire un rapprochement entre le solde bancaire du livre journal et le solde réèl ?

2. Dans les entrées du livre journal, on note toutes les factures reçues. Doit-on également noter dans ce livre la quote part des charges tel que partie professionnel du chauffage, de l'eau, de la voiture, ou cela fait il l'objet d'un décompte qui se fait sur un document à part.

3. Suis-je obligé de facturer et de payer de mon privé à mon professionnel les quotes parts de ces charges pour qu'elles deviennent déductible à l'IPP ?


Merci

#17 Re : Impôts des personnes physiques » Livre journal - Secret professionnel » 2008-07-02 14:30:19

Bonjour à tous,

J'ai deux questions à propos du livre journal à tenir par les professions ( para ) médicals.

1. Dans le livre journal tenue par une kiné, que doit contenir la colonne dénomination :

- Le numéro des attestations ?
- Le nom du patient ?
- Le nom du patient et le numéro d'attestation ?
- Une autre mention ?

2. Cette kiné preste également par l'intermédiaire d'un home n'ayant pas le statut de centre de médecine. Elle reçoit ses honoraires directement du patient mais doit reverser un montant de 10% au home.
Comment doit on écrire cette " rétrocession " dans le livre journal ?
- Dans les " autres frais professionnel " ?
- dans les " montant reversés à un confrère etc... " ?
- d'une autre manière ?

Je vous remercie d'avance de votre contribution et vous souhaite une bonne journée

#19 Re : TVA » Achat immo sous le régime TVA » 2007-11-21 00:40:01

Bonjour,

Première question. La condition pour que l'acquéreur puisse déduire la TVA , est qu'il soit un assujetti ordinaire avec droit à déduction TVA. Attention que le vendeur, doit, pour vendre avec l'application TVA, rspecter des conditions:

si le vendeur est un assujetti ordinaire dont l'activité principale est une activité immobilière, le droit de vendre l'immeuble avec TVA est absolue.

Si le vendeur est un particulier ou un assujetti dont l'activité principale n'est pas une activité immobilière, le vendeur doit faire la demande de l'otion TVA auprès de son contrôle TVA.

Deuxième question: La déduction similaire à la TVA pour les droits d'enregistrement, les frais de crédit ou les frais d'inscrption hypothécaire n'existe pas.

Par contre ces frais sont bien des frais fiscalement déductibles à l'impôt des sociétés pour autant que l'acquisition soit faîte dans le cadre de l'activité professionnel. Si une partie est privée, un pro rata temporis sera calculé pour ne déduire à l'impôt que la partie professionnelle.

Voilà, c'est une synthèse

J'espère avoir répondu à vos questions

#20 Re : Emplois Comptables » cours du soir pour devenir expert comptable » 2007-11-16 14:41:49

Bonjour,

Sans vouloir vous décevoir, il n'y a effectivement aucun accès à la profession d'expert comptable via un enseignement quelconque.

Le monopole de l'attribution du titre d'expert comptable revient à L'institut des experts comptables  après un stage de minimum 3ans, la réussite de deux examens intermédiaires, la réussite de l'examen final écrit et oral ainsi que la rédaction d'un rapport de stage et d'un mémoire.

Pour le reste les écoles que mentionnent l'expertise comptable comme formation  vous dispense des cours vous permettant de réussir les examens de l'IEC. Vous n'obtiendrez pas le statut d'expert comptable par ce moyen.

Désolé

#21 Re : Comptabilité générale » Frais de constitution » 2007-11-14 13:03:09

Bonjour,

5 ans est bien la maximum et non 3 ans

Toutes mes excuses

#22 Re : Impôts des Sociétés » Intérêts notionels » 2007-11-14 09:59:20

Bonjour

Il faut bien tenir compte des variations des fonds propres et des éléments à soustraire de la base de calcul qui interviennent au cours de l’exercice comptable. Les modifications sont censées avoir lieu le premier jour du mois civil suivant celui au cours duquel elles sont intervenues. Une augmentation de capital le 13 février 2007 serait en principe prise en compte pour 10/12.

De plus l'explication de la fiche 275 c mentionne bien en son point c la manière de déclarer ces fluctuation en son point C.

Il est donc clair que, pour la déclaration ISOC 2008 revenu 2007 une société crée en 2007 reprendra son capital sousscrit au prorata du nombre de mois séparant le mois de constitution au mois de cloture de l'ex d'impostion +/- les fluctuation du capital au cours de l'exercice 2007 au prorata du nombre de mois séparant le mois qui suit la fluctuation au mois de cloture de l'exercice d'impostion ( généralement 31/12 ).

#23 Re : Comptabilité générale » Frais de constitution » 2007-11-13 17:00:42

Les frais de constitution pevent être traités de deux manière différentes :

On les prend en charges dans les comptes 61. Ces frais seront principalement des honoraires,  des frais d'émission de titre.....  il n'est je pense pas exclu d'avoir également certain menus frais financier ayant le caractère de frais de constitution. PAr ex : frais d'ouverture de compte bancaire, frais d'ouverture de crédit ......

Ces charges peuvent également êtres transférées en immobilisation, et être amorti sur une durée de 3 ans.

#24 Re : Impôts des Sociétés » Créances irrécouvrables : quels documents pour éviter rejet ISOC ? » 2007-11-13 16:51:44

Bonjour,

Je voudrai préciser une chose.....

Ce n'est pas parceque ces délais de prescription existe que l'administration va admettre des reductions de valeur dessus. Il faut prouver à l'administration que des démarches ont été faîtes en vue de la récupération des créances. Lettre de rappel, mise en demeure, mails, exploit de huissier, menace de bruler la voiture .... ( ah non... ca on peut pas .... ) 

A noter aussi qu'un seul de ces éléments en particulier ne constitue pas une preuve à lui seul, il faut voir les choses dans un ensemble cohérent, avec en soutient une expérience, une politique d'entreprise, des procédures..... )

Si l'administration constate que des réductions de valeur sur créance douteuse sont actée sans qu'il y ait cessation de paiement de la part du client, elle analaysera la situation plus en détail.

Des montages fiscaux seraient trop facile dans le cas contraire.

Mes amitiés à Didier

#25 Re : Impôts des Sociétés » Intérêts notionels » 2007-11-12 14:29:56

Bonjour

La réponse n'est, il me semble pas correct. Lors du premier exercice d'imposition, les interêts notionels sont calculer sur base du capital sousscrit au prorata de la période d'existance de la société.

ex création le 01.07.2006

deux possibilités : S

Soit premier exercice fiscal du 01.07.2007 au 31.12.2007 soit 6 mois. Lors de la déclaration relative aux revenu 2007 il faudra faire le calcul suivant :
Capital souscrit * taux Int. Not *6/12.

Soit premier exercice fiscal du 01.07.2007 au 31.12.2008 soit 18 mois. Lors de la déclaration relative aux revenu 2007 - 2008 il faudra faire le calcul suivant :
Capital souscrit * taux Int. Not *18/12.

Les années suivantes il faut évidement tenir compte de l'évolution des fonds propres en tenant compte des limitations prévues.

Pied de page des forums

Propulsé par FluxBB