Corporate Desk 2018

#3 Re : Autre - Divers » Création d'un crèche » 2008-04-04 21:11:27

C'est sidérant de naïveté!!!

Des cigales, sans complexes et sans scrupules, demandent à des fourmis qui n'ont pas ménagé leurs efforts (temps, énergie, argent) le fruit de leur travail.
Le secteur des crêches est assez difficile (législation draconnienne) mais la demande est pourtant là. Il faut donc se montrer créatif, orignal et débrouillard pour mettre au point un projet qui tienne la route et qui ouvre les portes des financements. Cela demande beaucoup d'efforts. Mais ceux-ci sont la plupart du temps récompensés.
Et certains se disent que d'autres feront les efforts à leur place et leur livreront spontanément leurs astuces...

Franchement si je me suis efforcé à établir le plan financier d'un projet original en matière de crêche pourquoi irais-je le donner à quelqu'un d'aussi peu dégourdi.
Qu'est-ce qu'un mendiant pourrait apporter qui soit mutuellement bénéfique?

#4 Re : Comptabilité bancaire » Calcule de mon épargne + taux d'interet » 2008-03-27 14:56:27

Bonjour Fiscus,

Votre interrogation est interpellante...

Quest-ce que cela change selon vous si les banques appliquent 365 jours ou 360 jours dans la formule de calcul des intérêts créditeurs?
Où est la difficulté?
Savez-vous seulement comment on calcule lesdits intérêts?

Cordialement,
Kenningard

#5 Re : Comptabilité bancaire » Calcule de mon épargne + taux d'interet » 2008-03-26 20:41:54

Bonjour,

Click2join se trompe complètement en matière de calcul du taux d'accroissement. Apparemment il ne sait pas que ce que le terme prime d'accroissement signifie.
La prime d'accroissement est un taux d'intérêt qui s'applique sur l'accroissement de capitaux versés sur le compte d'éparne d'une année à l'autre.
Si en l'an 0 vous placez 100, vous ne toucherez au bout de 12 mois que les 1,6 % convenus.
Si en l'an 1 vous n'augmentez pas le montant déposé sur votre compte d'éparge, vous ne méritez pas la prime d'accroissement et vous devrez vous contenter des intérêts créditeurs conventionnels (1,6%).
Si en l'an 2 vous déposez encore 20 sur votre compte d'épargne; vous toucherez les habituels 1,6 % sur 100 et 2 % sur les 20 supplémentaires... En outre, à condition que les 20 soient restés sur le compte pendant au moins 12 mois consécutifs.
Vous devez en outre vous renseigner sur le mode de calcul de votre banquier: prend-elle en compte 360 jours calendaires ou plutôt 365...

BAV
Kenningard

#6 Re : Impôts des Sociétés » Bilan excellent: Réduction base imposable: comment? » 2008-03-14 20:02:54

Bonjour Calo,

Sur base d'un bon bilan; empruntez massivement, investissez massivement (développement de nouveaux projets...) et amortissez massivement.
Vous vous enrichirez en payant peu ou pas d'impôts.

Cordialement,
K.

#7 Re : Indépendants » Maitresse . SM » 2008-03-11 18:02:23

Bonjour,

Beaucoup d'autres activités n'ont pas non plus de statut juridique.
Donc ce n'est pas un critère.
Constitutionnellemment aucune administration n'a le droit de vous assimiler à une prostituée. Sinon vous pourriez les attaquer en dommages punitifs.
Soyez créative et sans scrupules et considérez-vous comme une "thérapeute" en bien être sexuel, vous aidez bien vos clients à parvenir à leur plénitude sexuelle. Vous pouvez également vous considérer comme une "Coach" (monitrice) spécialisée en matière d'épanouissement sexuelle...
Des "coach" il en existe pour tous les goûts et il existe donc différentes appellations.
Vous avez donc le choix entre plusieurs catégories : thérapeute, monitrice spécialisée (coach), conseillère en épanouissement personnel. Vous pouvez exiger d'être reconnue comme telle ou telle catégorie. A vous de vérifier le code NACE se rapprochant le plus de la catégorie choisie. Si l'administration fiscale conteste votre choix elle est obligée de motiver sa décision et ce sera avec peine et des risques pour elle.

Si vous vendiez des ustensiles propres à votre activité, vous seriez également et simplement reconnue comme commerçante...

Cordialement,
K.
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#8 Re : Autre - Divers » licenciement d'un salarié malade » 2008-03-11 17:42:58

Bonjour Rahan,

Une absence prolongée ne permettant pas un fonctionnement du service de gardiennage, l'employeur peut légitimement estimer qu'il est obligé de procéder au remplacement définitif de son salarié   en arrêt-maladie.
Le salarié va très probablement contester son licenciement et il n'est pas impossible qu'il soit débouté par une cour d'appel, qui constatera que l'employeur a dû, dans l'intérêt du fonctionnement normal de l'entreprise, procéder à son remplacement définitif en faisant appel à une société spécialisée pour assurer le gardiennage.
Mais dans ce cas-ci il est également bien possible que la Cour de cassation ne partage pas cette analyse et condamne l'employeur pour licenciement abusif!
La Haute Juridiction pourrait rappeler que le licenciement d'un salarié malade peut effectivement se justifier si le fonctionnement de l'entreprise est objectivement perturbé par les absences prolongées et qu'il est nécessaire de le remplacer définitivement.
Toutefois, elle pourrait justifier sa décision en précisant que seul peut constituer un remplacement définitif un remplacement entraînant l'embauche d'un autre salarié; qu'il en résulte que le recours à une entreprise prestataire de services ne peut caractériser le remplacement définitif d'un salarié.

=> Le licenciement d'un salarié malade se justifie si l'absence cause une perturbation importante au fonctionnement normal de l'entreprise, à condition que le remplaçant soit obligatoirement recruté en CDI (contrat à durée indéterminée).
Il n'est donc pas question de faire appel à un prestataire de services car cela reviendrait à supprimer un emploi et à procéder à un licenciement économique.

J'espère que ces éléments vous aideront à prendre votre décision.
BAV Rahan,

K.
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#9 Re : Emplois Comptables » Mon comptable me menace d'un procès » 2008-03-10 17:43:40

Il n'y a pas de quoi, Gwendolyne , vos questions sont intéressantes, elles motivent donc souvent une réponse.

Cordialement,
K.
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#10 Re : Comptabilité générale » ACTIF NET » 2008-03-10 17:39:02

Bonjour Fabi,

Avez-vous seulement une vague idée de la manière dont on calcule l'actif net comptable d'une société?

Jojo a raison; pour ce faire il n'y a pas de règle absolue.
Et s'il vous répond non c'est probablement du au fait que la procédure de calcul est longue. En tous cas trop longue pour figurer dans un billet.

En fait toute mesure de l'actif net se doit d'être corrigée pour tenir compte des biais introduits par les règles comptables d'enregistrement. En effet, le bilan comptable est construit selon des règles qui ne permettent pas d'appréhender correctement la réalité économique et financière de l'entreprise. En particulier, la valeur nette comptable des éléments d'actifs, telle qu'elle se lit dans le bilan, ne reflète qu'imparfaitement leur valeur économique réelle. Déterminer la valeur d'une société à travers le prisme déformant de la comptabilité suppose une connaissance élémentaire des règles et des principes sous-jacents à l'élaboration des états financiers de synthèse.

Il y  a donc une liste des principales corrections à apporter sur la valeur comptable des éléments du bilan: ajustements divers portant sur plusieurs éléments de l'actif ainsi qu'une série d'ajustements portant sur les éléments du passif....

Cordialement,
K.
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#11 Re : Créations d'Entreprises » Achat d'un commerce » 2008-03-10 09:39:52

Bonjour Gwendollynne,

C'est un plaisir de pouvoir vous aider.

K.
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#12 Re : Emplois Comptables » Mon comptable me menace d'un procès » 2008-03-08 19:38:52

Bonjour Gwendollyne,

Je vais dans le sens de quartes: l'employeur a des obligations...

En fait je dirais même que l'employeur a l'obligation de maintenir l' "employabilité" de ses salariés en les formant.

Je me souviens d'un cas similaire au vôtre.
Deux salariées sont licenciées pour motif économique, après avoir passé respectivement vingt-quatre et douze ans dans leur entreprise.
Elles contestent la validité de leur licenciement et, de plus, reprochent à leur employeur de ne pas avoir respecté l'obligation de formation prévue par je ne sais plus quel article du Code du travail.
Malgré le temps passé dans l'entreprise, elles n'ont suivi qu'un seul stage de formation continue de trois jours. La Cour d'appel leur donne raison, une position validée par la Cour de cassation.
Pour les juges, l'employeur n'a pas exécuté correctement le contrat de travail en n'assurant pas l'adaptation des salariés à l'évolution de leur poste de travail et en omettant de veiller au maintien de leur capacité à occuper un emploi.
Selon la Cour, le manquement spécifique au maintien de l'employabilité constitue un préjudice distinct de celui lié à la rupture de contrat.

=> L'employeur n'est pas seulement tenu d'assurer l'adaptation des salariés à l'évolution de leur emploi mais aussi de veiller au maintien de leur capacité à occuper un emploi, de manière plus générale.
Trois jours de formation continue en dix ans, c'est peu pour maintenir l'employabilité d'un salarié.
La condamnation est double: les juges sanctionnent le licenciement sans cause réelle et sérieuse mais aussi l'absence d'action visant à maintenir l'employabilité du salarié.

Gwendollyne, faites donc attention aux revendications probablement légitimes de votre employé, même si la manière de revendiquer de votre comptable est discutable.

Cordialement,
K.
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#13 Re : Créations d'Entreprises » Achat d'un commerce » 2008-03-05 18:19:33

Bonjour Gwendolyne,

Une personne peut être propriétaire d'un fonds de commerce, lequel inclut le droit au bail, sans pour autant être propriétaire des murs où l'activité est exercée.
Dès lors, en cas de cession du fonds de commerce, le propriétaire des murs doit-il donner son accord et intervenir à l'acte de cession du fonds?
En matière de baux commerciaux, est nulle la clause qui interdit de manière absolue au locataire de céder son bail à l'acquéreur de son fonds de commerce.
Les clauses qui sont seulement restrictives de ce droit de cession sont licites, telles les clauses d'agrément dès lors qu'elles permettent au bailleur un contrôle de la moralité et de la solvabilité de l'acquéreur.
Les motifs du refus du bailleur sont toutefois susceptibles d'être contrôlés par les tribunaux et, en pratique, la latitude du bailleur pour refuser est faible.
En réalité, les clauses les plus usuelles sont celles qui obligent le locataire qui cède le fonds à faire intervenir le bailleur à l'acte de cession.
Il faut se montrer particulièrement vigilant sur le contenu de ces clauses et s'y tenir. A défaut de respect, le locataire encourt la résiliation du bail sans indemnité d'éviction.

BAV

K.
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#14 Re : Comptabilité des ASBL » analyse bilantaire » 2008-03-05 18:05:20

Bonjour,

L'Institut des réviseurs d'entreprise a édité une série de brochures très utiles sur base d'exemples pratiques. Renseignez-vous auprès de l'IRE.
Les brochures (papier et électronique) éditées par les banques sur les business plan comprennent toujours une partie dédiée à l'analyse bilantaire.

K.
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#15 Re : Emplois Comptables » Combien je vaux » 2008-02-10 19:39:27

Bonjour,

Interrogez-vous sur votre valeur ajoutée....

Que pouvez-vous apporter comme valeur ajoutée à un client qui vous posera immanquablement et régulièrement des questions bien plus complexes que celles que vous énoncez dans ce forum concernant votre propre situation.

Que vaut votre graduat en comptabilité/fiscalité si vous ne savez déjà pas répondre à des questions aussi simples que celles que vous affichez ici?

Après une licence en gestion d'entreprise vous n'êtes pas en mesure de trouver vous-même la réponse à vos soucis de statut et de rémunération ???

Cordialement

#16 Re : Comptabilité générale » Droits de succession » 2008-02-08 20:33:38

Votre notaire est la personne théoriquement la plus indiquée pour vous répondre correctement.

Je présume que soit vous n'avez pas confiance en lui, soit vous n'osez pas le lui demander directement.

Dans ce cas n'importe quel autre notaire ou clerc de notaire peut vous répondre gratuitement dans le cadre d'un premier entretien.

Cordialement,

#17 Re : Créations d'Entreprises » L'évaluation d'une entreprise » 2008-02-08 17:30:20

En tant que praticien de terrain, je suis bien obligé d'abonder dans le sens de jojo.

Il a tout à fait raison sur la validité des diverses méthodes de valorisation qui n'en mènent pas large face au marché qui a effectivement le dernier mot.

#18 Re : Comptabilité générale » ??????????????? » 2008-01-25 13:08:50

Bonjour clik2join ,

Votre idée est intéressante et votre site Web est donc utile.

Mais ce ne sont ni vos propres notes de cours, ni même votre propre cours de comptabilité analytique.

Vous avez mis au point une sorte de synthèse du travail intellectuel d'autres personnes.

Avez-vous seulement l'autorisation de publier les notes de cours de Mme Sophie Deltombe et le cours de comptabilité de l'ICHEC?
Avez-vous demandé la permission à la secrétaire académique de l'ICHEC.
Avez-vous également la permission des auteurs des mémoires que vous publiez (peut-être à leur insu?)?

Sinon, vous courrez un danger, parce que la législation sur la reproduction (entière ou en partie) de textes a évolué férocement envers ceux qui méprisent les droits d'auteur.

Ce message n'est qu'une mise en garde amicale.

Cordialement,
Kenningard

#19 Re : Comptabilité générale » Comptabilité: SCIENCE ou TECHNIQUE » 2008-01-22 21:10:23

Bonjour,

Ni le diplôme de comptable ni celui d'expert-comptable ne sont des diplômes universitaires.
Ce qui disqualifie à priori la reconnaissance de cette activité particulière comme activité scientifique.

La comptabilité générale et la comptabilité analytique ne sont que le produit d'une utilisation descriptive des chiffres. Principalement il s'agit d'appliquer le mieux possible un ensemble de techniques pour décrire la situation micro-économique d'une entreprise (au sens générique du terme).

La comptabilité (générale et analytique) n'est qu'un outil de base de la science économique.

Le licencié en sciences économique, l'ingénieur commercial, ingénieur de gestion, l'ingénieur en économie appliquée ont une connaissance et une utilisation bien plus large des chiffres, tant à  l'échelle micro que macro économique.
Ils utilisent la plupart des outils de la science économique pour construire des modèles sophistiqués de mesure de l'activité économique. Ils cultivent ainsi une véritable science du chiffre.

Ces universitaires bénéficient, eux, d'une véritable formation scientifique: mathématiques fondamentales, mathématiques appliquées, modélisation économique (modèles économétriques), recherche opérationnelle, statistiques fondamentales (et modélisation statistique, gestion financière, macroéconomie, micro économie, physique et chimie (qui sont des mathématiques appliquées) pour les ingénieurs, théorie mathématique de la décision, mathématiques financières, ingénieurerie économique, etc.

Ceci étant dit, ces universitaires ne deviennent scientifiques, au sens académique du terme, qu'à partir du moment où ils entament des travaux méthodiques de recherche théorique et/ou appliquée, de préférence en milieu académique.

En résumé les comptables et experts-comptables n'ont ni une formation scientifique, ni une utilisation scientifique de leurs connaissances (limitées à l'application stricte,  d'un nombre relativement réduit de techniques des chiffres). Tout au plus , ce sont des artistes dans l' application des techniques qu'ils utilisent et reproduisent. Ne dit-on pas qu'il y a l'art et la manière...

Cordialement,

Kenningard

#20 Re : Indépendants » Reprise d'une brasserie » 2008-01-11 14:03:57

Bonjour Pako,

Effectivement, un nouveau propriétaire peut faire fuir la clientèle... Sauf si l'ancien patron assure correctement le relai, par exemple en vous présentant à l'ensemble de sa clientèle avant l'achat et surtout en vous accompagnant les six premiers mois suivant l'achat....

Si le concept est original, la localisation avantageuse, la clientèle nombreuse et stable, le prix de vente adéquat et si en plus vous pensez pouvoir apporter une plus-value à l'affaire, alors, à priori, l'achat de la brasserie semble intéressant.

Quant au prix; en se basant sur des méthodes (fondées sur une bonne dose d'empirisme) auxquelles on recourt fréquemment lors de rachats de fonds de commerce et/ou de clientèle et qui retiennent comme critère principal des multiples du chiffre d'affaires (s'inspirant en cela des méthodes américaines de Price Sales Ratio (PSR) qui valorisent l'acquisition de parts de marchés):

les brasseries s'évaluent à environ 400 fois la recette quotidienne.

Avec un peu d'astuce,il devrait être assez facile d'évaluer la recette quotidienne de l'établissement convoité...

Vous avez là une base pour commencer à déterminer la valeur du bien que vous convoitez ensuite le prix finalement payé sera bien évidemment fonction de vos aptitudes à la négociation.
Mais dans ce secteur il n'est pas trop difficile de construire un argumentaire...

Cordialement,

Kenningard
Spécialiste en valorisation de start-ups

#21 Re : Comptabilité commerciale » Escompte de 4 à 2 % » 2007-12-21 15:57:53

Je suis tout à fait d'accord avec la suggestion de jojo.

#22 Re : Impôts des personnes physiques » Pret hypothecaire et mandat hypothécaire ---> Remboursement » 2007-12-19 18:08:14

Bonjour,

Cela n'est pas aussi simple que vous ne l'imaginiez.

Hypothèque et mandat hypothécaire couvrent en fait l'ensemble des sommes dues et à devoir de la banque. C'est-à-dire des dettes antérieures et postérieures au prêt qui vous a été accordé lorsque vous avez accepté d'octroyer ces nouvelles garanties à la banque.

Relisez bien les conditions générales de votre emprunt hypothécaire et vous constaterez que les garanties nouvelles  cédées aux banquiers ne sont pas exclusivement dédiées aux nouveaux crédits sollicités.

Ce n'est pas parce que vous remboursez anticipativement un montant à votre créancier que les garanties vont diminuer de manière proportionnelle au montant remboursé.
Tout est à le discrétion du banquier! Quand il s'agit de se délester de garanties , c'est le banquier qui en choisit le moment, le type et la valeur. Il en va autrement si vous savez négocier.

BAV

Kenningard
Ingénieur-conseil financier

#23 Re : Autre - Divers » Conseils sur le rachat d'une fiduciaire/clientèle » 2007-12-19 17:55:04

Bonjour,

La reprise d'un portefeuille d'expertise comptable se valorise en moyenne 0,8 fois le chiffre d'affaires annuel.

En comparaison, le multiple sera en général 1,2 pour le commissariat aux comptes, cette différence se justifiant par une meilleure rentabilité relative et par la durée de contrat de commissariat aux comptes (6 ans).
Ceci étant, des ajustements devront être envisagés au cas par cas en fonction de la rentabilité et de la qualité (fidélité, solvabilité, etc.) du portefeuille de clients.

L'expérience montre que pour la clientèle d'expertise comptable, la fourchette d'estimations s'échelonne entre 0,4 et 1,2 fois le CA.

Elle se situe entre 1 et 1,5 fois le CA, pour le commissariat aux comptes.

Cordialement,
Kenningard
Ingénieur-conseil financier

#24 Re : Autre - Divers » Création d'un crèche » 2007-12-19 17:43:17

Bonjour à tous,

L'établissement d'une crêche doit correspondre à des critères très stricts et particuliers.
Impossible d'établir un plan financier sans connaissance des critères reconnus par l'Office National de l'Enfance.
Ces fameux critères ont une incidence incontournable sur les coûts et donc sur la faisabilité et la rentabilité d'un tel projet.

Donc, le mieux serait de se renseigner directement auprès de l'ONE. Les étudiants auteurs de mémoires sur le sujet n'ont pas pu faire l'impasse sur ce passage obligé.

Un peu d'astuce et de débrouillardise et vous trouverez des exemples types de plans financiers émanant de l'un ou l'autre service de cette vénérable et très bien documentée institution...

Kenningard
Ingénieur-conseil financier

#25 Re : Indépendants » Fonds de commerce VS vente d'actions » 2007-12-19 17:30:21

Bonjour Quartes,

Vente (ou rachat) de fonds de commerce et vente (rachat) de
clientèle sont apparentées.

Par contre il n'y a aucun lien de parenté entre la vente de titres de propriété caractéristques comme les actions ou parts sociales et la vente de fonds de commerce.

Ce sont juridiquement et financièrement deux choses distinctes.

Bien à vous,

Kenningard
Ingénieur-conseil financier

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